Le blended learning est un dispositif qui allie apprentissage en ligne (e-learning) et cours en présentiel. Aussi appelé mixte ou hybride, ce modèle relativement récent est de plus en plus plébiscité et présente de nombreux atouts, à la fois pour les organismes de formation, pour les entreprises et pour les apprenants. Vous souhaitez en savoir plus sur le blended learning ? Vous projetez de concevoir votre propre parcours hybride ? Voici cinq ouvrages riches en informations et en exemples concrets qui devraient vous permettre de vous perfectionner en la matière !
La transformation digitale gagne tous les secteurs d’activité, et le domaine de la formation n’échappe pas à la règle. L’enseignement, à quel niveau que ce soit, est d’ores et déjà en pleine mutation, ce qui nécessite pour les professeurs, formateurs et autres ingénieurs pédagogiques de se former sur le sujet. Si vous êtes dans ce cas de figure, ou que, tout simplement, vous souhaitez vous renseigner sur le digital learning et mieux en comprendre les enjeux, voici une liste de cinq ouvrages récents qui abordent sous des angles variés le vaste – et passionnant ! – sujet du numérique en formation.
À l’ère du digital, notre rapport à l’enseignement et à la formation s’est modifié en profondeur. Les nouvelles technologies permettent à tous ceux qui le souhaitent, où qu’ils se trouvent, d’apprendre à leur rythme sur les sujets qui les passionnent ou qu’ils doivent maîtriser pour être professionnellement performants. Pour désigner cette méthode d’apprentissage relativement récente mais déjà très répandue, on utilise le terme anglais « digital learning » – l’apprentissage numérique. Si nous avons tous une idée plus ou moins aboutie de ce en quoi consiste le digital learning, nous pouvons facilement nous perdre dans le méandre des nouveaux mots et acronymes associés à l’usage des nouvelles technologies en formation. Alors que désigne exactement le digital learning et quels sont ses atouts ? Quelles modalités pédagogiques, quels outils regroupe ce mode d’apprentissage ? Le digital learning est-il synonyme d’e-learning ? Nous tâcherons ici de répondre à ces questions.
Le blended learning, aussi appelé formation mixte ou encore formation hybride, est un dispositif qui allie deux modalités d’apprentissage : l’apprentissage en ligne (e-learning) et le présentiel (cours classiques). L’idée est de maximiser l’impact de la formation, notamment en mobilisant et en stimulant du mieux possible les apprenants, tout en limitant le temps en présentiel qui engendre des coûts pouvant être conséquents. Ce modèle relativement récent semble faire ses preuves puisqu’il se démocratise de plus en plus. Alors quels sont ses avantages concrets ? Y a t-il aussi des inconvénients à utiliser le blended learning ? Faisons le point !
Une méthode pédagogique est le moyen pédagogique – c’est-à-dire un ensemble de règles et de procédés – employé par le formateur pour favoriser l’apprentissage et atteindre l’objectif pédagogique fixé. On distingue 5 méthodes pédagogiques distinctes dont l’application nécessite de prendre en compte la complexité des savoirs à transmettre, le type de public concerné, les possibles contraintes et les moyens disponibles. Parmi elles, la méthode démonstrative qui repose sur le même postulat que la méthode expositive (la connaissance est un savoir transmis du formateur à l’apprenant) mais dont la mise en œuvre est différente. Alors en quoi consiste exactement la méthode démonstrative ? Comment et dans quel contexte est-elle utilisée ? Quels sont ses avantages et ses inconvénients ? Voici quelques éléments d’explication.
Dès leur plus jeune âge, c’est en jouant que les enfants découvrent le monde et acquièrent de nouvelles connaissances. Les premiers savoirs formels, à l’école, sont d’ailleurs le plus souvent transmis sous une forme ludique. On pourrait penser que cette façon d’utiliser le jeu est l’apanage des petits… Pourtant, de nombreux effets bénéfiques de ce qu’on appelle les « serious games » ont été aussi mis en évidence par les neurosciences chez les adultes. Il existe à ce jour de multiples serious games dans des disciplines variées, et la demande ne cesse d’augmenter.
De nos jours, la notion de compétence et de savoir est omniprésente dans le monde de l’entreprise où elle est particulièrement prisée. Mais au demeurant, sait-on vraiment décrire ce qu’est une compétence ? Sait-on l’analyser ? L’utiliser ?
Depuis les années 1990, dans une optique de clarification, plusieurs solutions à ces interrogations ont été proposées. Cinq approches principales se distinguent, dont celle dite mixte selon laquelle une compétence consiste en des savoirs, des savoir-faire et des savoir-être, trois processus cognitifs intrinsèquement liés qui sont activés dans le contexte professionnel. En quoi consistent-ils ? Qu’est-ce qui les différencie ? Où se situe la frontière qui les sépare ? Autant de questions auxquelles cet article se propose de répondre.
Le vidéo learning est un format de plus en plus utilisé en formation, et il est très plébiscité des apprenants. Comme son nom l’indique, cette méthode consiste à utiliser la vidéo comme outil d’apprentissage, par exemple pour expliquer un concept ou le faire comprendre au travers d’un cas concret. Parfaitement intégrable aux modules e-learning, la vidéo se veut relativement courte (pour une meilleure mémorisation), et centrée sur une notion précise. Elle contient en général un maximum de visuels et est enrichie par des sons ou de la musique. Comme tous les outils digitaux, le vidéo learning est en constante évolution. Voici un zoom sur les dernières tendances audiovisuelles en formation !
En formation, il existe trois sortes d’ingénierie : l’ingénierie des dispositifs de formation, l’ingénierie de formation et l’ingénierie pédagogique.
Ces ingénieries sont complémentaires dans l’atteinte de l’objectif principal d’un organisme de formation professionnalisant, à savoir former des apprenants compétents.
Intéressons-nous à l’ingénierie de formation, née à la fin des années 1970. Si, depuis qu’il existe, ce concept n’a cessé d’évoluer au gré des travaux de recherches en sciences de l’éducation, sa finalité reste la même : la production de savoirs et de compétences en lien avec les situations professionnelles ou sociales des individus. Voici quelques notions clés à connaître sur le sujet.
La taxonomie de Bloom est un modèle pédagogique mis au point en 1956 par le psychologue Américain Benjamin Bloom avec l’aide d’un certain nombre d’autres universitaires spécialistes de l’éducation. Il s’agit d’un référentiel proposant une classification de l’acquisition des compétences en six niveaux hiérarchiques. En 2001, une révision de cette taxonomie a été proposée par un collectif de psychologues cognitifs, de chercheurs pédagogiques, et de spécialistes des évaluations. En quoi consiste cette actualisation ? Quels en sont les atouts ? Quelques éléments de réponse pour éclairer l’utilisation de ce nouveau modèle didactique.